Ceux qui aiment la symbolique des choses, notamment dans le domaine de la santé, le savent : nos corps impriment tout.
Nous ne nous souvenons plus de nos traumatismes d’enfant.
Nous avons oublié les éléments les plus marquants de notre début de vie : notre arrivée à la vie, nos chutes de bébé, nos peurs d’enfants.
Même adultes, nous avons tendance à oublier les mauvais moments.
Nous ne pouvons pas toujours vivre avec nos détresses !
Pourtant, si notre conscience évacue les idées noires ou les émotions mauvaises, ce n’est le cas ni de l’inconscient, ni du corps.
Nos traumas physiques et nos brûlures de l’âme sont inscrits dans notre chair.
Nous avons appris au fil des siècles à écouter notre psyché. Il existe des personnes dont le métier est de faire parler notre inconscient. Nos rêves ont un sens, les psys peuvent nous aider à les interpréter.
Mais que faisons-nous pour notre corps ?
Avons-nous conscience qu’un travail sur le corps compte sûrement autant qu’un travail sur l’esprit ?
C’est tout le défi de l’EFT, ou Emotional Freedom Technique.
Son objectif est de libérer le corps des émotions qui se sont accumulées en lui et qui encombrent notre vie.
La première fois que j’ai entendu parler de l’EFT, c’était au 1er Congrès français de psychologie énergétique organisé par Jean-Michel Gurret.
J’y ai entendu des psychologues tels que Dawson Church, Donna Eden, David Feinstein et quelques autres.
Toutes ces personnes m’ont marqué par leur empathie et leur enthousiasme.
À les écouter, ce qui leur donne le plus de joie, ce sont les résultats qu’ils parviennent à obtenir avec leurs patients.